En regardant ces volatiles volages, j’ai repensé au titre de la chanson qui figure juste ici, en dessous. J’ai joint les photos avec celle-ci, comme dans une rencontre improbable, mais le jeu des rapprochements, des conflagrations inattendues, des « correspondances » (au sens baudelairien du terme), des associations non déclarées Loi 1901, ou du « hasard objectif » à la Breton m’a toujours aimanté.
Un oiseau chante, une chanson demoiselle : il suffit d’être à l’écoute – alors, on ouvre l’écoutille.
(cliquer pour agrandir ces photos prises le 18 octobre.)
(Julie London, Bye bye Blackbird)
[ ☛ à suivre ]
il suffit d’être à l’écoute
et guidée par vous m’en vais le faire
@ brigetoun : on pourrait voir des oiseaux voleter dans des musées comme si on leur offrait une grande cage de liberté… 🙂
Dentelles flamandes ombres chinoises
@ colorsandpastels : choc des cultures ! 😉
Romeo et Julietta
rencontres improbables
il suffit de lever les yeux
quitter un instant le global.
@ jeandler : depuis le balcon… 😉
Il suffit d’écouter la voix enchanteresse de Julie London, Bye Bye Blackbirds, en regardant la nuit tomber sur le vieux pays flamand, avec son lourd ciel bas de souvenirs.
@ Alex : elle est peu connue, me semble-t-il, mais sa voix mérite de l’être… 🙂
on pense un peu à Sir Alfred (et à Tippi Hedren) (malmenée, certes)
@ PdB : Il faut dire que Daphné du Maurier était impitoyable !
Vivement merci pour ce Black bird dont la musique a dû, à l’évidence, inspirer son merle noir à Dick Annegarn, ce que je découvre ! Albert
@ Francesca : c’est bien de faire allusion à lui… 😉
[…] réponse virtuelle au billet métronomique d’hier, une mouette burlesque du jardin du […]
Belles photos de tous ces oiseaux qui « correspondent » en enchantant nos yeux et nos oreilles.
@ Francesca : ils étaient juste en face… 🙂