Bye bye, Bailleul (3)

En regardant ces volatiles volages, j’ai repensé au titre de la chanson qui figure juste ici, en dessous. J’ai joint les photos avec celle-ci, comme dans une rencontre improbable, mais le jeu des rapprochements, des conflagrations inattendues, des « correspondances » (au sens baudelairien du terme), des associations non déclarées Loi 1901, ou du « hasard objectif » à la Breton m’a toujours aimanté.

Un oiseau chante, une chanson demoiselle : il suffit d’être à l’écoute – alors, on ouvre l’écoutille.

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bail6_dh(cliquer pour agrandir ces photos prises le 18 octobre.)

(Julie London, Bye bye Blackbird)

[ ☛ à suivre ]

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15 réflexions sur “Bye bye, Bailleul (3)

  1. brigetoun dit :

    il suffit d’être à l’écoute
    et guidée par vous m’en vais le faire

  2. Dentelles flamandes ombres chinoises

  3. jeandler dit :

    Romeo et Julietta
    rencontres improbables
    il suffit de lever les yeux
    quitter un instant le global.

  4. Alex dit :

    Il suffit d’écouter la voix enchanteresse de Julie London, Bye Bye Blackbirds, en regardant la nuit tomber sur le vieux pays flamand, avec son lourd ciel bas de souvenirs.

  5. PdB dit :

    on pense un peu à Sir Alfred (et à Tippi Hedren) (malmenée, certes)

  6. Francesca dit :

    Vivement merci pour ce Black bird dont la musique a dû, à l’évidence, inspirer son merle noir à Dick Annegarn, ce que je découvre ! Albert

  7. […] réponse virtuelle au billet métronomique d’hier, une mouette burlesque du jardin du […]

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