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Après l’attentat du 7 janvier 2015 qui a fusillé 12 personnes au siège parisien de Charlie Hebdo, le journal paraîtra mercredi prochain et sera tiré à un million d’exemplaires.
Son avenir est en discussion et Patrick Pelloux, médecin urgentiste et l’un de ses chroniqueurs, n’a pu cacher la violence du drame qu’il avait ainsi découvert et ressenti quelques minutes après que l’assassinat monstrueux a été commis.
Chacun, attaché à la liberté de la presse et à la liberté tout court ou toute longue, peut se sentir concerné par cet événement et en esquisser un dessin ou en capter quelques impressions fugitives comme l’existence elle-même.
Hier, plus de journaux en kiosque à 10 heures. Étonnant ! Il faut qu’il y ait un drame pour que les gens lisent le journal ?
@ gballand : peut-être…
yeux qui clignent en regardant le ciel
@ brigetoun : pourtant le soleil est timide…
absolument préserver ce coin de ciel
@ lanlanhue : et même l’élargir.
« impressions fugitives comme l’existence elle-même », exactement, c’est ce que l’on prouve parce qu’on a tué des gens comme nous, tout à fait incapables de faire ni de concevoir quoi que ce soit de violent, même pour se défendre …
@biscarrosse2012 : un éclair…
Tourner les yeux vers le ciel… une athée peut-elle en éprouver le moindre apaisement ? Hé bien oui ! Merci Domiique.
@ Francesca : oui, car « le ciel appartient à tout le monde » !
Fin d’arrêt interdit ou fin d’arrêt d’interdire ? La tragédie de Charlie oblige toute la planète à réfléchir.
Le ciel bleu me dit d’espérer dans les bonnes solutions.
@ Alex : c’est l’ambiguïté de cette nofitication qui en fait le sel…
Dessiner ou peindre peut devenir très dangereux.
Fautrier, pendant la guerre, a peint les Otages fusillés près de son atelier à Chatenay, mais il ne les avait ni signés ni datés.
@ Alex : le courage ne réside pas que dans une signature…
sans mot mais pas sans passage…/comme les nuages
@ annaj : une trace suffit 🙂