1, Bijoux…
2, Les nouveautés parisiennes…
3, Temple d’or…
4, Céder…
En revoyant plusieurs fois cette séquence magique, on s’approprie de ce lieu qui devient brusquement familier. On s’affectionne au parapluie qui envahit la vie, à l’étrange bicyclette blanche, aux passants qui font vivre la ville sous la pluie.
Entre-temps, on mémorise les noms des enseignes, comme le ferait un enfant qui apprend à lire. Mais quel est l’ordre d’importance ? Est-ce que tout est à céder ? Le temple d’or ? Les bérets démodés ? Les nouveautés parisiennes ? Ou alors, tout simplement, qui sera le nouveau arrivé qui prendra le relais de cette boutique en fuite ?
It rains cats and dogs! dirait le briton qui en connaît un rayon; et nous on se dit » ben non, on s’ entend bien, pourquoi qu’ y dit ça?☺Merci à vous. (Le coffret Varda, un bijou!)
Elle aurait voulu un bijou. Il l’emmena aux « Nouveautés parisiennes » où il n’y avait que des jouets. « Tu peux avoir un bijouet » dit-il. Totalement insoumise, comme il n’était pas question de céder, elle exigea un bonnet. Il lui choisit le plus ridicule. Devinez…
Cette BI cyclette est un BI-jou en effet, mais les nouveautés parisiennes semblent avoir été « nouvelles » au siècle dernier, et au temple d’or il manque un bonnet Inca !
@ mchristinegrimard : chaque fois que je passe devant cette boutique (vendeuse de Dinky toys, entre autres), je me demande combien de temps elle va résister aux marchands de fringue style « Cooples » qui envahissent les arrondissements encore préservés…
plaisir de le revoir – quel est le splash du début ?
@ brigetoun : je ne sais, petit pb technique qui se manifeste parfois…
Poussée par le désir de sortir du nuage de l’ignorance, elle se précipite au temple des nouveautés parisiennes, pour y choisir un cadeau.
@ Alex : ce nimbus cumule de plus en plus ses apparitions !
1, Bijoux…
2, Les nouveautés parisiennes…
3, Temple d’or…
4, Céder…
En revoyant plusieurs fois cette séquence magique, on s’approprie de ce lieu qui devient brusquement familier. On s’affectionne au parapluie qui envahit la vie, à l’étrange bicyclette blanche, aux passants qui font vivre la ville sous la pluie.
Entre-temps, on mémorise les noms des enseignes, comme le ferait un enfant qui apprend à lire. Mais quel est l’ordre d’importance ? Est-ce que tout est à céder ? Le temple d’or ? Les bérets démodés ? Les nouveautés parisiennes ? Ou alors, tout simplement, qui sera le nouveau arrivé qui prendra le relais de cette boutique en fuite ?
@ biscarrossse2012 : un petit manège en passant…
Agnès Varda ni Jacques Tati n’auraient pas su faire mieux !…
@ biscarrosse2012 : allons !!! 🙂
(même si je préfère la première – admirable – au second – trop saccadé…)
petits éclats dans l’oeil
@ annaj : oui, tant qu’ils n’attaquent pas la cornée…
Les fantômes des templiers s’amusent à empêcher de moderniser le quartier.
@ Alex : ils ne « cèderont » pas tous, on peut l’espérer !
It rains cats and dogs! dirait le briton qui en connaît un rayon; et nous on se dit » ben non, on s’ entend bien, pourquoi qu’ y dit ça?☺Merci à vous. (Le coffret Varda, un bijou!)
@ pascale : Les pastilles Varda restent incontournables.
Varda, oui ! mais Tati… aussi !
@ Francesca : oui, on peut avoir des préférences, cela ne veut pas dire « rejet » !
les passages de la pluie rue du Temple…
@ PdB : temple aquatique…
Elle aurait voulu un bijou. Il l’emmena aux « Nouveautés parisiennes » où il n’y avait que des jouets. « Tu peux avoir un bijouet » dit-il. Totalement insoumise, comme il n’était pas question de céder, elle exigea un bonnet. Il lui choisit le plus ridicule. Devinez…
@ Désormière : effectivement, le scénario est circonscrit à ces trois lieux. Maintenant, on a les dialogues !
Cette BI cyclette est un BI-jou en effet, mais les nouveautés parisiennes semblent avoir été « nouvelles » au siècle dernier, et au temple d’or il manque un bonnet Inca !
@ mchristinegrimard : chaque fois que je passe devant cette boutique (vendeuse de Dinky toys, entre autres), je me demande combien de temps elle va résister aux marchands de fringue style « Cooples » qui envahissent les arrondissements encore préservés…